FINANCEMENT. L’auteur déclare dans sa publication que l’étude est en partie financée par le New Zealand Institute for Plant & Food Research Limited qui pourrait y avoir un intérêt financier. "L’Institut possède cette variété de cassis et essaiera donc de déposer une licence. Ceci génère des revenus pour financer d'autres recherches", note-t-il. Actuellement, l’équipe travaille sur une autre étude qui montrera avec quelle rapidité et pour combien de temps les monoamine-oxydases sont inhibées après la boisson. Réponse dans quelques mois.
Du BIDON!!!C'est de la recherche orientée pour vendre.
(dans le même genre les bénéfices de la caféïne...)