sternburg a écrit :probleme: un biais important est que 90% des schizophrenes et maniaques pratiquent le tabagisme severe. il n est pas possible d evaluer l odorat d un groupe de gros fumeurs en rapport à une "normale" si bien qu j accorderais aucune importance à ces etudes, etant donné la rigueur des methodologies en psychiatrie qui laissent tres rarement produire des resultats qui ne sont pas redevable à un biais dans le materials et methods, celui ci me semble enorme. les resultats olfactifs d une population de gros fumeurs sont pas evaluables.
de meme les TDAH ont une propension beaucoup forte que la normale à fumer, boire, prendre des drogues. certes pas à 8 ans mais ca peut commencer à 12. par ailleurs l attention evidemment influe l evaluation que fournira des stimulus sensoriels percus, sans que la fonction sensorielle soit atteinte;
en etat d irritation ce soir, je ne supporte plus le foisonnement de conneries issues d etudes biaisees qui sont semble t il la seule chose qu est capable de fournir la recherche medicale en psychiatrie. que ce soit un biais de methode dans le design de l etude, ou un biais de falsification par les participants. j ai compris que la recherche en "medecine psychiatrique" valait pas davantage que l expertise d un psychiatre, c est a dire rien.
même avec un tdah, fumer avant 15 ans doit être assez rare; mais c'est vrai que toute cette histoire de biais infini craint un max pour la science : http://www.plosmedicine.org/article/inf ... ed.0020124